4 Alcool 453 Tabac 59 Cannabis 357 Opiacés 332 Cocaïne, 74 Crack 44 Ecstasy, Kétamine, GHB, MDMA, Hallucinogènes 4 Médicaments psychotropes détournés 13 Traitements de substitution détournés 26 Drogues de synthèse 5 Autres produits 6 Cyberaddictions 16 Jeux d’argent et de hasard 17 Autres addictions sans substance 14 Pas de produits consommés 18 II.2. ACTIVITÉS D’INTERVENTION PRÉCOCE ET DE PRÉVENTION : II.2.a. Analyse quantitative : CONSULTATIONS JEUNES CONSOMMATEURS (EN NOMBRE) N-1 N Adolescents 103 120 Parents 32 36 Consultations 352 378 NB : Les données CJC sont comptabilisées dans la file active globale. ACTIONS DE PRÉVENTION / DE FORMATION NOMBRE DE PERSONNES NOMBRES D’HEURES N-1 N N-1 N Scolaire 1 545 707 272 141,5 Social 325 584 153,5 174 Santé 226 231 137,5 14 Justice 125 150 125 89 Entreprise - 140 - 39 Total 2 221 1 812 688 457,5 NB : Ces données ne sont pas comptabilisées dans la file active globale. II.2.b. Analyse qualitative : Les CJC sont en très légère augmentation. Les moyens alloués sur cette activité ne permettent pas de déployer davantage cette offre, qui nécessite de la proposer hors les murs pour aller à la rencontre du public jeune, qui ne vient pas spontanément au centre. Les actions de prévention collective s’adressent majoritairement à un public jeune. Elles sont réalisées tant en milieu scolaire qu’en milieu spécifique et décrites dans le rapport d’activité RRAPPS. Nous observons une baisse globale des personnes destinataires et du nombre d’heures réalisées. Ce constat s’explique par : ✓ Des demandes d’actions ponctuelles pour lesquelles nous n’avons pas toujours répondu favorablement. Ces interventions restent des amorces essentielles pour nous : rencontre de nouveaux partenaires, de nouveaux publics, création d’un lien de confiance, démarrage de collaborations simples à partir desquelles des projets plus ambitieux peuvent être envisagés comme les programmes probants. Nos interventions structurées ont majoritairement émergé d’interventions ponctuelles. Néanmoins, nous limitons ces interventions ponctuelles avec les partenaires qui ne souhaitent pas s’impliquer dans des actions de préventions plus construites et/ou des programmes probants. ✓ Des tensions RH évoquées en amont de ce rapport, qui ont davantage mobilisées les professionnels sur les activités de soin. Nous poursuivons les travaux menés avec le Réseau Régional d’Appui à la Prévention et à la Promotion de la Santé Nord Franche-Comté en participant aux différents temps consacrés à la prévention, qui devraient faciliter le déploiement des actions de prévention et des programmes probants auprès de nos différents partenaires, comme l’éducation nationale.
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