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MAS GEORGES PERNOT - FRANOIS
Le profil des résidents correspond à l’agrément de la structure.
La notion de soin est très prégnante dans l’accompagnement global des personnes
accueillies et les problématiques médicales souvent complexes. Elles interrogent de façon
systématique les professionnels et les confrontent parfois à leurs propres limites tant les
situations peuvent être extrêmes.
Sur l’année, 97 accompagnements pour une consultation ou un examen spécialisés à
l’extérieur de la MAS ont été réalisés. Les consultations s’orientent principalement vers les
services de gastroentérologie, de neurologie, de stomatologie, de médecine physique et de
rééducation fonctionnelle, de radiologie.
III. MISE EN ŒUVRE DU PROJET D’ETABLISSEMENT
12 FEVRIER 2013 – 31 DECEMBRE 2014
Ouverture de l’établissement
Accueil progressif des résidents sur les 4 unités de vie
La MAS de Franois devient la MAS Georges Pernot
Équipes de professionnels au complet
Installation des résidents, de leurs accompagnements et de leurs proches dans un
fonctionnement de plus en plus évident, spontané et maitrisé
Inauguration de la MAS Georges Pernot le 10 octobre 2014
Activation des places d’accueil temporaire prévu en 2015…
…l’établissement trouve son rythme ; des ajustements, des pratiques restent à développer et
à confirmer de façon à toujours garantir aux personnes accueillies un accompagnement
bien traitant, sécurisant et sécurisé et une qualité de vie.
III.1. P
RESENTATION ET BILAN DES ACTIVITES MISES EN ŒUVRE
:
III.1.a. La qualité de vie au sein de la MAS :
La qualité de vie a certes une dimension subjective, pourtant…
Pourtant, elle implique de toujours prendre en compte les attentes des personnes en
situation de handicap concernant leur accompagnement, notions au cœur de la loi n° 2002-2
du 2 janvier 2002 et de la loi n° 2005-102 du 11 février 2005 et du décret n° 2009-322 du
20 mars 2009 et ainsi leur reconnaître un véritable statut de « personne ».
Cette reconnaissance se met en œuvre dans la relation d’accompagnement. Cette posture
suppose une réflexion sur les modalités de communication et d’écoute, particulièrement
difficile à mettre en œuvre pour les personnes en situation complexe de handicap.
Même si au sein des établissements, il ne « s’agit plus seulement de surveiller, protéger,
nourrir ou soigner l’individu, mais aussi de développer son rapport à autrui sous l’éclairage
de cette citoyenneté », il n’en demeure pas moins que la satisfaction des besoins primaires
